Aux confins de l’Ethiopie, à trois jours de piste d’Addid-Abeba, à plus de mille kilomètres de Khartoum et à des siècles de la modernité, Hans Silvester a photographié pendant de nombreuses années des tribus où hommes, femmes, enfants, vieillards, sont des génies de l’art contemporain. Leur corps est leur toile et leurs doigts des pinceaux.
Quelques photos : http://www.grands-reporters.com/Les-peuples-de-l-Omo.html
Cette année, Hans SILVESTER était le parrain du festival 2007 de Montier en Der.
2 commentaires:
Je ne regrette pas d'avoir vu cette expo. Je la reverrais avec grand plaisir.
Ces parures de séduction des peuples de l'Omo, "ces habits de la nature" sont effectivement saisies avec talent par Hans Silvester. Une exposition originale et remarquable.
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